Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

siteoff0.gif

 

144 boulevard de la Villette 75019 Paris

Contact@solidaires.org   www.solidaires.org

 

Le gouvernement organise "un sommet social" de pacotille

Organisons la réponse de la base sociale !

Le Président Sarkozy et le gouvernement organisent un "sommet" qu'ils prétendent "social" le 18 janvier parce qu'ils invitent, à l'Elysée, les "partenaires sociaux" : le aptronat et cinq syndicats (CGT, CFDT, FO, CGC, CFTC). En rélaité, les décisions antisociales sont déja prises, annoncées et connues : ce sommet n'est qu'une grande mise en scène pour imposer de nouvelels mesures contre els salarié(zs), contre celles et ceux qui produisent la richesse mais en profitent de moins en moins car elle est récupérée par une petite minorité depuis des années.


Comment oser accoler le mot "social" à la TVA, qui est l'i^pôt le plus injuste : Mme Bétencourt paie le même taux de TVA qu'un RMiste! Pourtant, voilà ce que le gouvernement présente comme une mesure-phare :

- Créer un impôt qui pèsera bien lourdement sur el spauvres et sera insensible sur les riches,

- Remplacer, tout ou partie, des cotisations patronales sur les salaires par une augmentation de la TVA, ce qui va renforcer les injustices et faire payer d'avantage les ménages et moins les entreprises!

L'emploi, un souci de gouvernement? Le bilan est éloquent : 4 510 000 chômeur(ses) en décembre 2011, soit une augmentation de 5,2% par rapprot à l'an dernier. Il faut ajouter environ 500 000 personnes non-inscrites, radiées, e, RSA forcé. Et ne pas oublier plus de 3,5 millions de précaires, 3 millions de temps partiel.

Le chômage partiel serait la solution magique? Il y a seulement deux ans, le gouvernement avait déjà mis en au chômage aprtiel plus de 600 000 salarié(es), en dépensant ainsi 300 millions d'euros d'argent public,... 300 millions d'eruos économisés par le patronat! Opération répétée avec l'exonération de cotisations sociales pour els heures supplémentaires. Si chômage partiel, il y a, c'est au patronat de payer à traver sun fonds commun qui peut être alimenté snas problème avec seulement une petite partie de leurs bénéfices!

Il est paradocal que gouvernement et patronat vantent les heures supplémentaires tout en prônant le chômage aprtiel. A moins que leur intention soit surtout de renforcer la flexibilité des salarié(es)? Tout aussi contradictoire est le fait de mener bataille contre la réduction du temps de travail (les "35 heures" ) en l'organisant à travers le chômage partiel! Il est vrai qu'il y a quelques différences de taille (même si nos critiques sur la mise en oeuvre des "35 heures" furent nombreuses et justifiées) : le speertes de salaire pour els travailleurs(ses) et les économies pour la patronat avec le chômage partiel.

 

 


A travers les licenciements, le chômage complet ou partiel, les "plans sociaux" le temps partiel imposé... les patrons imposent une réduction du temps de travail à des millions de salarié(es), mais en leur faisant payer! La solution est la réduction du temps de travail à 32 heures hebdomadaire, sans perte de salaire. De l'argent, il y en a! Faisons en sorte qu'il serve à celles et ceux qui produisent, et non aux patrons, banquiers et actionnaires!


L'Union Syndicale Solidaires avait proposé à l'intersyndicale d'appeler à une journée nationale de grève et manifestations le 18 janvier. Nous n'avons pas été suivis. Solidaires particpera aux initiatives unitaires décidées ce jour-là dans de nombreux départements mais il est nécessaire d'aller plus loin, l'Union Syndicale Solidaires

- soutient les mouvements de grève décidés dans certains secteurs profesisonnels, les nombreuses luttes de résistance menées dans les entreprises qui licencient.

- appelle à coordonner les actions au plan interprofessionnel et national

- considère qu'une réponse syndicale européenne est nécessaire, face aux plans de rigueur qui s'attaquent aux droits des populations de tous les pays.

- propose d'organiser dans les semaines qui viennent une manifestation nationale pour le droit à un emploi stable pour tous. 

 Ce qui nous importe plus que le "sommet, c'est la base sociale : les millions de travailleir(ses), de chômeurs(ses), de retraité(es), de jeunes en formaiton, qui souffrent de la crise organisée par le aptronat, les banquiers, les institutions internationales et les gouvernements à leur service.


Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :